750 grammes
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Bienvenue sur cette chronique de bricolage culinaire.
Vous y trouverez un large choix de plats végétariens (dont les Sweet sweet patatoes) ou non végétariens (comme la tarte de Montbéliard), d'en-cas (les rouleaux de printemps), de desserts (avec la salade de fruit en soupe de sorcière), simples, rapides et économiques.
Vous pourrez également  trouver des idées pratiques pour l'exercice du bricolage culinaire ou pour la simple dégustation.

19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 17:12

Je connais un truc super dur à faire : arrêter de manger des chips après avoir entamé un paquet.

Ne me dites pas que vous y arrivez, ce n'est pas possible ! Même Superman a du mal...

 

C'est quand même étrange, car c'est assez rare qu'un aliment doit aussi addictif pour la majorité des gens. Le chocolat par exemple, bah au bout de 100g, en général, on est un peu ensuqués (De l’occitan assucar (« assommer »), de suc (« sommet du crâne » sur le Wiktionnaire). Les fruits remplissent le ventre qui ne peut pas en contenir tant que ça. Même les cacahuètes, en général, écoeurent plus vite.

 

Des chercheurs canadiens auraient trouvé dans les chips et les frites (et surtout dans les graisses qui les composent) des substances addictives également présentes dans le cannabis. Ce qui est dommage, c'est que je n'arrive pas à retrouver les sources de l'info.

 

En tout cas, si les chips vous attirent jusqu'au bout de la nuit :

1. Eviter d'en acheter

2. Vider du produit vaisselle dans le paquet

4. Laisser le paquet à proximité d'un enfant qui se rendra malade à votre place

3. Choisir une substance addictive qui ne fait pas grossir

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 14:16

c'est de limiter son alimentation à des insectes. Oui, c'est à vomir.

 

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Un article du Monde du 20 janvier 2010 nous explique que finalement, la quiche aux vers est une bonne alternative à la viande, mais franchement, la photo est tellement monstreuse que je me dois de vous la montrer. Je ne sais pas si l'article du monde restera en ligne longtemps par contre...

 

Globalement, et ça vous êtes déjà au courant, les 6 milliards d'habitants de la planète ne peuvent pas tous se nourrir de viande comme nous le faisons aujourd'hui. Pour commencer, il n'y aurait pas assez de bétail pour tout le monde, mais surtout, les conditions d'élevage et de transformation ne le permettent pas. La terre deviendrait un lisier géant pour que nous puissons continuer à manger notre jambon du matin, notre steack du midi et notre viande blanche du soir (avec une tranche de cervelas en entrée). Personnellement, je n'en suis pas là, mais j'en connais que ça ne dérange pas.

 

Les avantages de manger les insectes sont nombreux. Ils ont bon goût, sont pauvres en graisse et riches en protéine, ne sont pas vecteurs de maladie et n'ont pas les inconvénients de l'agriculture intensive. Et de toute façon, nous mangeons des araignées dans notre sommeil, des vers dans les framboises, des moucherons en vélo et les autres cultures trouvent que ce sont des mets fins. Je ne vois pas bien comment nous pourrions faire la fine bouche en occident.

 

Mais bon, personnellement, je mixerais les vers dans ma quiche, car là, c'est vraiment écoeurant.

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11 mai 2006 4 11 /05 /mai /2006 21:43
Aujourd'hui, l'un des régimes connu et en vogue aux USA, c'est d'apprendre à cuisiner et à manger "français". L'éternel paradoxe français fait rêver... Les français passent leur temps à se goinfrer de cassoulets, de confits de canards, de foie gras, de choucroute, de Paris-Brest, de fondue savoyarde, de boeuf bourguignon, mais voilà, ils restent sveltes et en bonne santé générale (moins de maladies cardiovasculaires, coronariennes etc...). Alors, l'idée est d'apprendre à manger pareil.

Seulement voilà, les français ne veulent pas rester en arrière et commencent à tellement bien imiter le mode de vie des états-uniens qu'ils deviennent obèses à leur tour et de plus en plus. On note surtout chez les jeunes générations des pics à 15/20% d'obèses par classe d'âge. Dans 30 ans, on aura ici aussi des stages minceurs pour apprendre à cuisiner comme nos arrières-grands-parents. En attendant, on se laisse convaincre par la pub que les p'tits plats tous prêts pour vous faciliter la vie (en fait, pour vous allèger le porte monnaie et vous alourdir la silhouette) sont idéaux pour une vie moderne et active.

Tant que l'on mange les plats préparés par papa et maman, tant que l'on mange à la cantine, tant que l'on mange au restaurant, on ingurgite des aliments qui ont tous à peu près la même "valeur". Certains sont jugés comme très bons, d'autres comme dégoutants (notamment ceux de la cantine, pour lesquels on imagine assez bien la méchanceté du cuisto, le remplacement des épinards par la pelouse fraichement coupée, des chiens hachés dans les tomates farcies et autres légendes de jeunes gens).

En réalité, la qualité d'un plat vient surtout de la qualité des produits que l'on utilise. Une salade de tomates d'un supermarché est insignifiante et l'on approuve les enfants qui refusent de la manger. Une salade de tomates du jardin est extraordinaire, et mes enfants n'ont jamais refusé ça car ils en connaissent le goût exceptionnel.
Le deuxième attribut d'un plat est l'accomodement : la matière grasse et les aromates (sel, poivre, herbes, épices). Il est très facile par exemple de faire des plats délicieux quand on abuse de la crème fraiche ou du beurre et les restaurateurs en usent et en abusent. Si vous connaissiez la quantité de graisse utilisée pour cuire des légumes au restaurant, vous ne les considéreriez pas comme un plat "léger". Avec les aromates, plus difficile de tromper le monde, le dosage est subtil : s'il y en a trop, c'est immangeable, s'il n'y en a pas assez, ça risque d'être fade....
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28 avril 2006 5 28 /04 /avril /2006 14:59
Le sucre ajouté arrive très tard dans l'alimentation. A l'origine, les seules sources de sucre sont les fruits et le miel. Aujourd'hui, en France, la moyenne de consommation est de 38kg par an (elle était de 2kg au 19ème siècle). Pensez-vous que le corps humain s'habitue à un changement aussi rapide de l'alimentation ?
Les scientifiques accusent aujourd'hui le sucre d'être responsable de l'augmentation des cas d'obésité et de diabète de type2 (acqui au cours de la vie).

De plus en plus de personnes commencent à soutenir la thèse selon laquelle le sucre est une drogue au même titre que l'alcool ou le tabac. C'est vrai que ça semble exagéré et cependant...

La drogue est définie comme telle pour ses phénomènes provoqués de dépendance et d'accoutumance.
Avec le sucre, l'accoutumance est bien connue, c'est l'hypoglycémie : la sensation de bien-être, de redynamisation, de coup de fouet quand on l'assimile et de baisse de forme 1 à 2h30 plus tard, qui produit à long terme l'hypoglycémie (dont souffrent 90% des obèses) : le besoin impératif de consommer du sucre pour se sentir mieux, et de plus en plus, forcément.
La dépendance, c'est ce qui fait que vous n'arrivez pas à vous en passer. Vous y arrivez ? vous êtes sûrs ?
Bref, les dégats à court terme sont moins visible, mais à grande échelle, ils commencent à crever les yeux des scientifiques, des médecins, de l'organisation mondiale de la santé.

L'obésité, le diabète, les caries, mais aussi sûrement des troubles de la personnalité : les enfants que l'on nomme hyper-actifs voient la plupart de leurs symptômes largement diminués quand ils arrêtent ou réduisent leur absoption de sucre raffiné et direct (sucreries et sucre). D'autres recherches ont liés des troubles comme la délinquance ou certains skyzophrénie à la sur-consommation de sucres raffinés.
Il provoquerait également des carences en nutriments essentiels et un affaiblissement du système immunitaire (angines, rhyno et autres pharyngites à répétition).

On peut être sceptique, et entrer dans le jeu des lobbies sucriers. On peut aussi s'arrêter sur la question, lire ce qui existe et se faire son propre avis, éventuellement tester sur soi-même les effets du sucre ou de la limitation de sa consommation.

Bien entendu, il ne s'agit pas d'éliminer le sucre de notre alimentation, mais d'arrêter la sur-consommation de sucre raffiné (blanc), de sucrerie, de barres chocolatés, et autres "douceurs", mais aussi les sucres cachés dans les plats tous-prêts, les boîtes de conserves, les sauces industrielles. Les légumes, les céréales (pas les chocopops hein, les vraies céréales...), le pain (non blanc) contiennent des sucres essentiels pour notre santé.

Voir les articles de ce site sur le même thème


Liens :
Sur wikipédia, Les dangers du sucre blanc
Sanssucre.org, le sucre est un poison qui peut rendre dépendant
Aromalves.com, Le sucre, drogue douce ?

Livres:
Danièle Starenkyi, Le mal du sucre (1990)
William Dufty, Le sucre, cet ami qui vous veut du mal " (2004)
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27 avril 2006 4 27 /04 /avril /2006 18:17
Ce n'est pas seulement l'approche de l'été et du maillot de bain qui nous perturbe. Non, ce sont les tonnes de prose journalistique, les photos, les publicités qui prônent le règne de l'anorexie qui nous rendent soudain moches, grosses, hors-du-coup. Alors, au printemps, c'est la panique.

J'inaugure donc ma rubrique Régime minceur, car je pourrais en dire des tonnes sur le sujet, mais des choses qui fonctionnent et que je vous livre gratuitement : L'aide minceur libre et gratuite en open source en quelque sorte.
  • Arrêter tout produit cuisiné ou pré-cuisiné
  • Cuisiner soi-même
  • Avoir des amis et des soutiens dans votre démarche
  • Limiter au maximum le sucre
  • Faire du sport
  • Limiter les laitages
  • Limiter les aliments raffinés
  • Aller chez l'esthéticienne
En gros, et comme vous pourrez le lire dans tous les magazines traitant du sujet, il ne suffit pas de faire un régime, mais de changer de régime, c'est-à-dire changer totalement d'alimentation. D'une part parce que c'est la seule solution qui fonctionne, mais également parce que votre alimentation actuelle n'est pas adaptée (sinon, vous n'auriez pas ce problème de sur-poids ou de ventre gros, mou et flasque....).

Ceci-dit, vous vous trouvez peut-être gros car vous ne ressemblez pas aux affiches, aux pubs de magazine : Là, méfiez-vous, ça ne veut pas dire grand chose, car, que vous ne ressembliez pas à une bimbo retouchée sur Photoshop, ça paraît plutôt normal. Alors, pour être sûr que vous avez du poids à perdre, renseignez-vous sur votre IMC (indice de masse corporelle) et votre IMG (indice de masse grasse) sur Wikipedia, et calculer cela automatiquement ici.
D'un autre côté, même si vous avez un IMC idéal, vous pouvez avoir des habitudes alimentaires minables... Je vous conseille donc tout de même la lecture des prochaines pages.

Dans les jours à venir, je détaillerais donc chaque point noté ci-dessus pour que vous puissiez trouver les éléments essentiels à la réussite de votre régime minceur définitif.
(C'est vendeur ça hein ? ça doit faire remonter mon audience ça ! :-D...)
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